Le Château
Le Château
Le Château Mystères et sortilèges FantasyActuellement en rupture de stock avant réédition.Nouvel éditeur bienvenu
Diane de Poitiers, la plus belle femme du Royaume de France,
a-t-elle percé, avec son mage, le secret de l'Eternelle Jeunesse ?
Légendes, enchantements, magie au Château de Savignon et les aventures
plus ou moins rocambolesques de Jean Tolbiac qui l'a restauré et y a géré une maison d'hôte de luxe avec ses clients extravagants et farfelus.
Un nouveau livre de sexe, de sortilèges, de suspens avec des histoires allant de la Renaissance à nos jours, qui s'enlacent, se recoupent, se mêlent, mi nouvelles, mi roman développant de façon contemporaine le mythe de Faust.
Synopsis de ces nouvelles fantastiques
Nouvelles romantiques, sentimentales, cocasses, historiques, mystérieuses, grivoises, paillardes, dramatiques, policières, à suspens ou drôles.
L'auteur y aborde ses thèmes favoris du destin, de la prédestination, de la quête de l'amour, du plaisir, de la jeunesse.
Il a voulu que les évènements fantastiques et surnaturels, qui pimentent tous les récits, aient une possible explication logique et rationnelle.
Le Château
Mystères et sortilèges
9 nouvelles
Diane - La comtesse - La ligne de démarcation - Le fantôme. - 11 septembre - Le chien - Les truands -
L'anniversaire de Mariage - La messe noire
Extraits
Diane
Forêt poitevine de Savignon, près de Poitiers.
Deux cavaliers chevauchent à vive allure, suivant une meute de chiens qui course un grand cerf. Les branches basses des arbres fouettent leurs visages et leur corps.
Ils ont semé les autres chasseurs. Rien ne semble pouvoir les arrêter...
Ces cavaliers sont un homme, encore jeune, Jean de Poitiers, seigneur de Saint-Vallier, vicomte d'Estoile. chasseur émérite et passionné et sa fille unique encore enfant, Diane…
Elle était ainsi dénommée en hommage à Diane Chasseresse, déesse de la chasse dans la mythologie romaine, fille de Jupiter et soeur jumelle d'Apollon.
Diane de Poitiers est née le 3 septembre 1499 ou le 9 janvier 1500, date et lieu de naissance incertains selon les historiens.
La devise de sa famille :« celui qui m’enflamme a le pouvoir de m’éteindre » symbole de l'amour qui apporte plaisir et souffrance.
Le jour de la naissance de Diane, une voyante prophétise une destinée plus brillante que celle d'une Reine...
La suite dans le livre.
La Comtesse
Héloïse Elizabeth est née en 1724, sous le règne de Louis XV couronné à Reims en 1722 et déclaré majeur, à l'âge de 13 ans, en 1723. Néanmoins trop jeune pour exercer, seul, le pouvoir, il est conseillé par l'ancien régent, le duc d'Orléans, le cardinal Dubois, puis par le duc de Bourbon.
En 1743, Héloïse est une belle jeune fille de 19 ans.
Elle vit dans une famille campagnarde, noble mais pauvre.
Elle est charmante, mais n'a ni soupirant, ni amoureux.
Elle joue avec des enfants de valets ou de servantes.
Ce ne sont que des jeux d'enfant, car c'est une jeune fille très sage.
Sa famille bien que modeste, a tout de même quelques serviteurs, assez rustres, pas vraiment stylés, mais bien dévoués.
Guillaume et Marie, ses parents, lui ont donné une bonne éducation : musique, chant, danse... et même philosophie avec un précepteur éclairé en ce siècle des lumières.
Héloïse est progressiste du fait de ses lectures, de ses amis du peuple et de la façon très familiale dont ses parents traitent leurs domestiques.
Son père et sa mère souhaitent la marier.
À 19 ans, il est temps.
Ils rêvent de la voir gravir les échelons de la Société et à cette époque, l'objectif suprême est d'être admis à la Cour de Versailles.
Aspiration qu'Héloïse partage malgré ses tendances sociales !
Comment trouver le mari adéquat ?
Une lointaine cousine de Bretagne, Thérèse du Goulet de Cojunval, est une marieuse fort appréciée en ces temps et a réussi à conclure une cinquantaine de mariages...
La suite dans le livre.
La ligne de démarcation
En juin 1940, effondrement de l'armée française.
Le 22 juin, l'armistice franco-allemand est signé à Rethondes en forêt de Compiègne, dans le même wagon où fut ratifié l'armistice de 1918.
Revanche voulue par Hitler pour laver l'humiliation de 1918.
L'armistice prévoit le découpage de la France en plusieurs zones séparées par la ligne de démarcation.
Deux grandes zones principales : "la zone nord" occupée par les Allemands, et la "zone sud" dite zone libre, non occupée et gérée par le gouvernement du maréchal Pétain.
Le 18 juin, le général de Gaulle a lancé de Londres un appel pour continuer la lutte contre l'occupant nazi.
Le château de Savignon se trouve en zone occupée, à une centaine de mètres de la ligne de démarcation qui, sur un tracé aléatoire et arbitraire, partage en deux le département de la Vienne et la commune de Savignon.
Les occupants pratiquent une surveillance draconienne de la ligne de démarcation...
La suite dans le livre.
Le fantôme
1995 : Jean et Marie-Ange Tolbiac ont acheté le château de Savignon, près de Poitiers dans la Vienne. Le château est dans un état lamentable,
sans chauffage, sans électricité, sans sanitaires, sans salles de bains.
Toutes les pièces sont poussiéreuses, pleines de toiles d'araignée, de meubles à moitié pourris. Les fenêtres et les volets grincent lugubrement dès qu'il y a un peu de vent !
Vent qui provoque des sifflements stridents en s'insinuant dans les interstices des fermetures.
Les marches de l'escalier craquent sinistrement.
Dans les greniers, les rats trottent tranquillement et les loirs mènent de bruyantes sarabandes dans les anfractuosités des murs... Le soir, tout ce joli monde agite ses petites pattes et l'on dirait des bruits de pas.
Pour compléter le tableau, des chauves-souris se sont cachées dans le grenier ou derrière les volets.
Des chouettes nichent depuis des lustres dans les soupentes et les combles et hululent sinistrement la nuit.
Jean et Marie-Ange, pour surveiller les travaux de rénovation, habitent... ou plutôt campent dans le château.
La nuit, c'est vraiment impressionnant, d'autant plus que le château est isolé, en pleine campagne.
— On dirait un château hanté !
Se disent Jean et Marie-Ange en riant.
Ni l'un ni l'autre ne croient aux fantômes.
Pourtant, il y en a un dans le château...
La suite dans le livre.
Evocation du Château de Savignon au fil des diverses nouvelles
Diane de Poitiers et les Cerfs pour la nouvelle "Diane", Glycines pour "Le Chien", Dame Blanche pour "Le Fantôme", Salon Louis XV pour "La Comtesse"
Interview de l'auteur
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